J'arrive à Lourdes un vendredi matin
Ce jour-là, tout semble s'arrêter
Et la vie semble recommencer
A la Cité Saint Pierre, au détour d'un chemin.
Un mystérieux souffle divin,
Des grands arbres,
Agite les feuilles.
C'est Celui de la Paix
De la joie, de la fraternité
On ne compte plus les nationalités
Comment peut-on compter lorsque
Tout se mélange,tout se fond
Dans l'impalpable, le plus beau, le plus pur;
L'amour de Dieu, seul souffle de vie
Un air de solidarité
S’invite à tous les coeurs
Des étoiles se ravivent
Autour d'elles des milliers d'autres
Sans aucune différence
Un festival de Lumières
Anime le ciel bleu roi
De la Cité Saint Pierre.
Tout pleins de petits soleils
Plus beau les uns que les autres
Brillent au coeur de la nuit...
...Et la nuit laisse place aux rêves
Que chacune de nos actions,
Concrétisent jours après jours.
(Parfois avec un simple sourire)
Michèle.